Des enfants, beaucoup de problèmes

Glisse sa main tendrement dans les cheveux de Neiria, puis la laisse glisser sur sa joue, entourant son visage d'une large main protectrice... Et dépose un baiser sur le bout de son nez.

Bonjour Neiria, ravi de te voir !

Savoure le contact délicat de sa main, puis viens poser sa propre main sur la sienne, entrecroisant ses doigts avec les siens, tout en le dévorant des yeux...

Bonjour Aranel, charmée de pouvoir t'admirer !

Savourant cet instant, plonge son regard dans le sien, d'or et de flammes, puis passe son bras autour de sa taille et la rapproche de lui d'un geste à la fois doux et sec, et la serre dans ses bras tout contre lui, songeant qu'il est inutile de feindre plus longtemps l'indifférence. Lui mordille l'oreille avec passion.

Ma beauté enflammée, tu m'as manqué...

Se laisse faire, légèrement surprise et amusée par son empressement, avant de l'enlacer à son tour, caressant sa joue du bout de ses doigts. Puis écarte nonchalamment son oreille, avant de clore ses yeux pour rapprocher son visage du sien, les lèvres entrouvertes.

Chut, n'en dis pas plus ...

Attrape ce délicat et simple baiser, puis... est soudainement dérangé par une personne familière mais...

Oh, chère tante ! Comment allez-vous ?

Se rapproche des deux jeunes, le visage neutre et l'air pincé, sans pouvoir voir réellement ce qu'ils peuvent bien fabriquer dans cette pièce sombre et reculée. Se fige soudainement en entendant la voix d'Aranel l'apostropher, se morigénant de n'avoir pas été plus furtive.

Bonjour Aranel, je vais relativement bien. Je peux savoir ce que vous fabriquez ici tout les deux ?

Se faisant son regarde se porte sur Neiria, une lueur autoritaire dans le regard.

Continue son baiser en savourant cet instant de le retrouver loin des autres, puis surprise de son soudain revirement se retourne en s'écartant de lui, juste à temps pour apercevoir sa mère arrivée l'air angoissée et soupire alors de frustration. Elle la laisse alors parler sans rien dire écoutant l'échange bref en se retenant d'éclater, jusqu'à ce que sa mère pose son regard sur elle, cristallisant son dépit en un mouvement d'humeur.

En quoi cela te regarderait-il maman ? N'as tu rien de mieux à faire que de toujours vouloir me chaperonner ? Je suis assez grande pour prendre soin de moi, d'autant plus quand je suis à la maison. 'Nel me racontait juste une histoire de quand nous étions enfants, tu devrais plutôt t'occuper de tes affaires, au lieu de vouloir régenter les miennes !

Aranel avait tout du prince charmant de prime abord, un visage d'ange, une chevelure brune anarchique lui donnant un léger air ténébreux, une beauté toute elfique, toute en finesse, une belle carrure, et les manières suivaient... Délicat, doux, attentionné, galant, gentleman, humble, parfois poète et même romantique. Aucune femmes ne résistaient d'ailleurs à son charme et à son impressionnant don pour "tomber à pic", et plus que tout il aimait en jouer (Premier défaut apparent) sans la moindre arrogance et avec un naturel désarmant. Mais jamais il ne franchissait la ligne, et son cœur restait toujours entièrement dévouée à Neiria, femme détestée par toutes les autres qui croisaient son chemin d'ailleurs. Mais comment passé outre son goût prononcé pour le sang, ses penchants sadiques et pervers, son désir de pouvoir qui affectaient tout autant sa vie sociale que ses fantasmes sexuels. En outre, peu de femmes à qui il avait tendu la main était encore en vie... Elles étaient même sans doute toutes mortes dans d'atroce souffrance. Il tenait de sa mère cette double ambigüité, tout en lui était à la fois beau et atroce, et comme sa mère, il était capable de connaitre les ressentis des personnes proches, dans son cœur ou physiquement, une arme redoutable de manipulation. Et puis, il y a eu ces quelques premières années de sa vie auprès de la déesse, qui ont plus qu'une simple influence sur lui...
Et tout ça, Niniel et Catelyn le savaient... Elles n'en étaient pas effrayés mais elles préféraient savoir que les deux ne trainent pas trop seuls ensemble, surtout que Neiria était plus jeune et plus vulnérable... Il n'était d'ailleurs pas partit en voyage par hasard...
Mais Neiria n'était pas vraiment l'image de l'innocence, et elle savait à quoi s'attendre... Quant à Aranel, il était revenu encore plus beau et plus charmant, sûr de lui et de ses sentiments, et surtout de l'expérience en plus.

Ma main reste en contact avec la sienne, pianotant sur ses doigts pour ne pas perdre le contact, lui rappeler que je suis toujours là. Je m'avance un peu, et attrape délicatement la main de Catelyn pour lui baiser, tel le séducteur qu'il est.

Tante Cate, nous étions si heureux de nous revoir... Nous avons filé dans notre cachette directement, pressée de nous remémoré nos souvenirs d'enfance... Rien de plus.
Vous ne craigniez tout de même pas que je fasse du mal à votre fille ?

Il y a un rire dans l'obscurité. Dodelinant de la tête, d'une démarche langoureuse, tel un serpent, un jeune homme s'approche, toujours en riant doucement, un rictus moqueur. Aranel tenant la main de Neiria, cela ne le fait cependant pas rire. Il s'avance à la hauteur de Catelyn, son regard se pose doucement sur Neiria. Toujours aussi belle. Il glisse sur Aranel. Son sourire s'agrandit et il parle, doucement, avec un ton léger, voir moqueur, comme toujours.

« Ça n'est pas comme si il fallait se méfier de toi, Aranel... bien sûr que non. » Il a un rire moqueur. « Tu es un ange. Tu n'oserais pas toucher Neiria... »

Il a un autre rire, presque fou, mais toujours autant moqueur. Il recule, mais reste toujours dans la lumière, sa peau blanche visible, et ses yeux bleus brillant de mille feu derrière ses mèches brunes.

« Mais il ne faut pas oublier que l'endroit a des yeux et des oreilles... et il serait malheureux que des rumeurs étranges s'élèvent, d'un garçon avec des gestes déplacés pour une fille pure et innocente... » Il rit, dodelinant de la tête. « … qui sait ce que les murs disent... »

Il pince les lèvres, étouffant un nouveau rire, son regard toujours posé sur Aranel et Neiria.

Des gestes déplacés ? De quels gestes déplacés parles-tu ? Tu veux que je le dise ?
Très bien.
J'aime Neiria, et ça a toujours été ainsi.
Ez', nous nous connaissons parfaitement et aurions pu être comme des frères. Mais visiblement c'est la guerre que tu cherche...
Fais attention à toi, tu sais très bien qui gagnerait...

Je souris d'un mélange de moquerie et de sadisme. Il peut dire ce qu'il veut après tout. Tout le monde sait qu'il est fou. Mais je ne cèderais pas sur ce point...

Le rire d'Ezechkiel cesse aussitôt. Le ton enjoué sur lequel il parlait jusqu'à présent, disparu. Il n'eut qu'une grimace d'appréhension. Cet elfe... combien de fois avait il voulu serrer cette gorge jusqu'à ne plus l'entendre? Il n'était pas fou, non. Il portait juste les stigmates d'une vie de paria, d'une vie étrange, bercée entre des rêves sinistres, deux tantes sanguinaires, et elle. La lumière dans toute l'obscurité. Petits, tout ceci n'importait pas. Aranel était son meilleur ami, et Neiria comme une soeur pour lui, mais avec le temps, les sentiments avaient changé. Un peu trop, sans doute. Aranel était devenu un rival, et Neiria, une princesse. Il avait perdu, il le savait, et c'est ce qui le faisait devenir ainsi. De mauvaise fou, rancunier, et surtout, mauvais. Il eut un sourire sardonique, quelque peu narquois. Son regard était rempli d'une haine sans nom, une haine qui ne ressortait non pas seulement d'aujourd'hui, mais qu'il traînait depuis qu'ils étaient tous les trois grands.

« Et qui gagnerait, Aranel...? » Son sourire est sardonique. « Tu aimes Neiria, et alors? Ne t'es-tu jamais demandé comment notre amitié, si belle, avait pu dégénéré en une guerre? Je pensais pourtant avoir été clair dessus, même explicite. »

L'humain fronça les sourcils. Son regard bleu clair, des pupilles à la limite d'être translucides, fixa Aranel. C'était un mélange de haine et de peine. Il pouvait lutté, il le ferait. Il était celui qui se relever, mais il n'était pas question qu'il lui laisse Neiria sans rien dire.

« ...Tu n'es pas le seul sur cette terre, Aranel, à éprouver des sentiments. Et oui, malgré moi, j'ai un coeur, et c'est vraiment dommage qu'il réagisse à la même personne que ton cœur a désigné. »

Il ne pourrait pas le dire. J'aime Neiria. Ces mots étaient francs, mais Ezechkiel, lui, n'en serait pas capable. Son corps se tendit. C'était peine perdu. Il était un guerrier, il était puissant, mais il ne pourrait pas frapper Aranel. L'elfe restait son ami d'enfance, et malgré cette apparence de démon, Ezechkiel restait un homme, avec un cœur, et des principes. Il serra les dents, et son regard se fit plus sombre.

Ez... Ez... Je sais très bien ce qu'il s'est passé. L'amitié est devenu de la jalousie et de la rancœur. Et je sais très bien ce que te dicte ton cœur, vu que le miens me dicte la même chose. D'ailleurs, tu devrais me comprendre aussi. Tu voudrais que je me retire ? Mais le ferais-tu dans mon cas ? Bien sûr que non. Nous sommes rivales maintenant, ok, mais si tu seras toujours un ami pour moi. Alors arrête de faire ta tête de con... C'est à Neiria de choisir, et elle l'a fait. Juste... accepte-le !...
Nous sommes tous les trois tellement similaires...

Mon regard voltigeait de l'un à l'autre des protagonistes, j'avais beau les connaître tout deux depuis l'enfance, je me sentais à la fois furieuse et exaltée, surprise et déçue, choquée aussi... Et moi dans tout ça ? N'avais-je donc pas mon mot à dire ? Idiots ! Imbéciles tout les deux ! Faire un choix ? A quoi bon ? Quand 'Nel avait reparu, c'est son côté prévenant et charmeur qui m'avait poussée dans ses bras, mais Eze' ... avait pour lui se côté un peu fou et sauvage qui savait me fasciner aussi bien que m'exciter ... Pourquoi ne pouvait-elle pas avoir les deux ? Pourquoi ne pouvait-ils pas le comprendre et arrêter avec cette stupide histoire de choix ? Mais non plutôt que ça, menaces et insultes à peine voilées et devant maman en plus. Si elle avait osée elle en aurait pleurer de rage.

Nous sommes tous les trois tellement similaires...

La phrase à ne pas dire, s'il l'aait compris pourquoi ne l'acceptait-il pas avec son air sibyllin ? D'un coup d'épaule elle se dégage des bras d'Aranel, rouge de colère, les foudroyant tout les deux du regard.

Bande de cons, tout les deux ! Toujours à vous battre dès qu'il s'agit de moi ! Je ne suis pas un os que deux chiens se disputent à longueur de temps ! Hors de ma vue tout les deux !

D'un geste rageur je me précipite hors de la pièce pour éviter que l'on voit se mettre à couler les larmes qui me viennent alors, clamant ma colère et mon dépit dans un grand bruit de soie bleue en franchissant le seuil pour me précipiter dehors. Crétins ! Je m'élance, envoyant un cailloux percuter le mur en face d'un coup de pieds colérique. Quand comprnedront-ils ?

Je soupire, j'aurais préférée ne pas assister à ça, quoique je suppose que c'était inévitable... Vivre reclus ainsi, d'autant plus qu'ils sont tous trois du même âge et d'une égale beauté, je m'étonne que cela n'est pas plus vite dégénérer... Avec un soupir, je me tourne vers la sortie, laissant les deux garçons surpris par la réaction de ma fille, s'entredéchirer.

Vous auriez dû vous en doutez tout les deux...

Une simple phrase sibylline avant de passer la porte en silence, préoccupée. Il faudrait que je parle à Niniel...

Je me doutais qu'elle réagirait ainsi quand j'ai prononcé ces mots qui ne sont pas les bons, et que je regrette, parce que ce n'est pas ce que je voulais dire... Elle devrait le savoir, ou peut-être pas. Sans doute aussi que j'ai sous-estimé ses sentiments pour Ez'... Ils ont passé du temps ensemble sans moi, et puis il est beau garçon, ténébreux, un côté voyou qui plait aux filles.

On peut se féliciter Ez, on a tout gagné...

Sur ces mots, je quitte la pièce, pour rejoindre le coin de nature le plus proche, le patio de la chambre de ma mère. Elle n'est pas dans sa chambre entourée de voiles, j'en profite pour m'assoir sur une branche et fixer les étoiles... Il n'y a qu'elles qui n'ont pas changé...

Il grogne quand Aranel dit qu'elle a choisi. Non! C'est faux! Il a disparu, lui! Et Ezechkiel était resté, il l'avait vu grandir la beauté, s'épanouir la fleur. Et maintenant qu'il était revenu, il lui volait ce trésor qu'il avait tant chéri. Il sentit son sang bouillir dans ses veines mais sursauta de surprise. Il n'avait jamais pensé, non, jamais imaginé, que Neiria réagirait ainsi. Il aurait voulu dire un mot, mais il savait qu'elle n'aurait fait que le rejeter. Elle était partie, rageuse, en colère, furieuse. Les larmes aux yeux. Ezechkiel resta immobile quelques secondes. Partir à sa recherche était la meilleur idée, mais il ne fallait pas suivre l'elfe. C'était encore une fois un cas particulier... le cas de la rivalité, entre lui et le fils de Niniel. Ezechkiel ne se montra pas agressif. Ils avaient tout gagné, comme disait la moitié d'elfe qui lui servait de seul ami...

Il arqua un sourcil et souffla dans un murmure, quelques mots, graves et chauds.

« Chacun de notre côté, n'est-ce pas... »

Il ne répliqua rien de plus et passa par la porte. Pour avoir errer avec la jeune fille pendant longtemps, il savait pertinement les endroits où cette dernière aimait à flaner, pour réfléchir, pour se calmer. Il remarqua la tête blanche de l'autre côté du couloir. Le loup l'attendait. Il secoua la tête et fit signe à l'animal d'attendre, s'enfonçant entre les ruines. Il irait au jardin. C'était l'endroit qu'elle aimait, ici. Malgré le parfum de mort et l'atmosphère pesante, ce coin reculé donnait un magnifique jardin, un parterre de fleur beau, en quelques sortes. Il serra les dents. Les deux louveteaux le suivaient à distance, sachant leur maître en colère. Le regard d'Ezechkiel était cependant un peu paniqué, bien que masquer derrière ses mèches brunes. Il voulait la trouver, avant Aranel, pour... Il renonça à y penser. Il voulait juste la voir pour sécher ses larmes. Finalement, presque en courrant, il arriva au jardin. Les fleurs étaient rouges et blanches pendant cette saison. Quelques unes étaient d'un jaune d'or. Il chercha entre les buissons une silhouette, des cheveux rouges feu, et un regard... bleu...

L'elfe passa la porte de sa chambre, toujours inchangée, toujours la même, toujours jeune et pourtant si terriblement vieille. Elle passa le mur de voile et s'installa sur son lit, pensive...
Lorsqu'elle entendit un craquement dans les branches, elle se leva et traversa à nouveau le voile coloré.

Aranel... Que fais-tu là ?
... Viens dans mes bras, mon fils, tu m'as tant manqué ! dit-elle avec émotion.

Je n'avais pas bougé de fureur.... Comment pouvait-il... Comment osait-il ?
Son visage virait vers la gauche pendant que ma main droite finissait sa course et se figeait au dessus de mon épaule. Je reculais de quelques pas, hors de moi. Quel ordure... Quel monstre...

Ne t'avise jamais de recommencer une telle chose Aranel ! JAMAIS ! TU M'ENTENDS ???
Je te hais... Je te hais quand tu es comme ça... Alors ne joues pas avec moi !
Je t'aime parce que tu es mon fils, mais je pourrais te tuer pour que tu ne sème pas trop le malheur autour de toi...
Et n'oublie pas que je te connais comme ombre, je sais ce que cache ton visage.
Alors ARRÊTE !

J'étais à bout de nerf, respirant à peine, chuchotant presque par moment, débordée par l'émotion... Fils indigne...

Je reste un moment la tête de travers, sentant la douleur s'étendre sur ma joue puis prendre la forme de ses longs doigts fins, et je la sens rougir aussi. C'était plus qu'une gifle, presque un véritable coup de fouet... Puis je détourne le visage et je la regarde sans sourire cette fois, sans cet air provocant et désinvolte, mais sans regrets.

Tu sais bien que je ne suis pas sérieux quand je fais...
... Ceci étant, je trouve que c'est une bonne punition...
La vie des humains et si courte et la notre si longue, si bien que notre ne peut que se finir en drame...
Tu m'as enlevé à elle Maman ! Tu m'as soustrait à sa présence ! Tu m'as enlevé plusieurs années de bonheur à ses côtés, et par dessus tout, tu l'as envoyé vers Ezechiel en faisant ça ! Et maintenant ? Que suis-je supposée faire pour qu'elle vienne vers moi ?
Tu sais que je l'aime !

Lentement, je passe la main sur son visage, sur sa joue, écartant une mèche de ses cheveux ébènes. Mes doigts jouent délicatement sur sa peau. Tendrement. Pendant que je parle, ma main suit mes mots. L'émotion aussi.

Mon fils... Qu'est ce que tu es beau... Un ange tombé du ciel... La carrure d'un prince charmant... Toute la beauté des elfes et celle de ton père réunis. Une peau diaphane, des cheveux tranchant avec cette pâleur, de beaux et grands yeux verts, un air mélancolique et mystérieux, le menton imberbe laissant présumer ton innocence... Tu as la forme de son visage, son nez aussi, son front... j'aime à te regarder, je revois les traits de son visage, ses expressions...

Mais tu sais comme moi ce que tu es à l'intérieur... Mon fils.
Je ne sais toujours pas ce que tu as vécu quand je t'ai abandonné, quoiqu'il en soit, tu as ça dans le sang toi aussi, le goût du sang, l'envie de le faire couler, regarder ta victime souffrir et l'achever en héros quand elle te supplie ! Semer la terreur, faire le mal !
Tu es le sommet de la perversion, regarde comment tu te conduis avec moi...
Je n'ose m'imaginer jusqu'où tu es capable d'aller, je n'ose imaginer ce que tu pourrais faire à tes maitresses...

Certain dirait que tu es un monstre.
Je n'ai pas honte de ce que j'ai engendré, au contraire, je suis fière.
Et Ezzeckiel ne vaut pas mieux là dessus...
Mais nous avons pensé avec Catelyn qu'il en serait mieux ainsi, pour vous deux. Nous avons peut-être eu tort...
Je connais aussi le pouvoir que peut avoir l'amour, et à quel point il peut changer nos comportements envers certains...
Laisse faire, si tu l'aime, elle t'aimera, soit juste plus respectueux...
L'amour est un jeu au même titre que la chasse, les règles sont les mêmes... penses-y...